mardi 12 juin 2012

The Work - technique de Byron Katie (un peu long mais intéressant à lire)


http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Methodes/Articles-et-Dossiers/Methode-contre-les-pensees-negatives

Méthode contre les pensées négatives

Le moral en berne, l’humeur maussade, la pensée confuse… Comment prendre du recul ? En s’appuyant
sur la méthode américaine de Byron Katie : The Work. Notre journaliste l’a testée. Convaincant.
Soirée pluvieuse sur Strasbourg-Saint-Denis, à Paris. Un environnement peu ensoleillé pou découvrir la dernière technique d’épanouissement "in" sur la côte californienne… Mais puisque cette vague vient jusqu’à nous autant plonger. Byron Katie, la soixantain rayonnante, est la créatrice de ce travail sur soi sobrement baptisé The Work (Le travail, en français). Son livre, paru en 2003, est un best-seller et Time Magazine a classé son auteur parmi les « leaders spirituels les plus innovateurs ». Aujourd’hui, des groupes mensuels animés par certains de ses élèves naissent à travers toute l’Europe… et dans notre capitale. Il était donc temps de découvrir l’un de ces "cercles d’investigation". Pas de meilleur endroit, en effet, pour comprendre cette méthode qui cherche à nous libérer de notre confusion intérieure. Ni thérapie ni dogme spirituel ou philosophique, The Work est une
expérience à vivre.
Ce soir, ça se passe dans un centre associatif. Dans la salle réservée au « travail », un éclairage improbable, huit
chaises de plastique bleu alignées en demi-cercle. Vacances de Pâques obligent, nous sommes peu nombreux :
quatre femmes et deux hommes, dont Frank Kane, chef d’orchestre de la soirée. Traducteur technique de
profession, il a suivi une formation – deux grands stages de neuf jours – qui l’autorise désormais à transmettre The Work.

« Pratiquer régulièrement cette technique a changé ma vie, explique-t-il. J’ai de plus en plus de mal à croire mes “histoires”, ce que je me raconte toute la journée. Une de mes préférées parmi ces pensées qui me font souffrir, c’est : “Ma femme ne se rend pas compte de tout ce que je fais pour nous”… Aujourd’hui, quand je vois ce scénario arriver, je n’y adhère plus. Ou plutôt, lui semble me lâcher. En pratiquant le “Turn around” (« inversion »), j’intègre très vite de nouvelles options : “Je ne vois pas tout ce que ma femme fait pour nous”, ou “Ma femme voit ce que je fais pour nous”. Cela renouvelle mon énergie, un peu comme quand on essaie une nouvelle chemise. »
Suit une lecture d’un extrait du livre de Byron Katie sur cette technique d’inversion. Pour elle, en effet, toute
pensée que nous nous répétons et qui engendre de la souffrance mérite d’être revisitée sous différentes formes,
notamment en se l’appliquant à soi-même. « Tant que vous estimerez que la cause de votre problème est
extérieure à vous, tant que vous supposerez que quelque chose ou quelqu’un d’autre est responsable de votre
souffrance, la situation restera sans espoir. […] Ramenez la vérité à vous-même et conquérez votre liberté », écritelle.
C’est donc un travail approfondi sur nos projections, quand nous reprochons aux autres ce que nous ne voulons pas voir en nous !!! que sa technique propose.
Je m’étonne de ce côté interchangeable de toutes nos pensées : « Mais si tout ce que nous pensons est aussi
facilement transformable, est-ce que ça veut dire que rien de ce que nous pensons n’est vrai, fondé ? » Frank me répond que la vérité ultime, c’est ce qui peut apparaître, enfin, lorsque toutes ces pensées inutiles se sont
évaporées. Je pense à la recherche du vide mental : The Work serait-il une forme occidentale, accélérée, de
l’ascèse zen ?
Ma pensée au crible
Après la théorie, la pratique. Frank nous invite à écrire l’une des pensées qui nous traversent régulièrement
l’esprit. J’écris : « Le monde, les gens sont durs. » Mes voisins sont concentrés sur leur papier. Frank nous invite à mettre celui-ci dans un chapeau. « Nous allons tirer l’une de ces pensées au sort, indique-t-il, et la soumettre au “travail”. » C’est une phrase rédigée par ma voisine qui est choisie : « Le perfectionnisme tue la créativité.
» Pendant une vingtaine de minutes, alternant le rôle de "facilitateur" (celui qui pose les questions) et celui de
"client" (lorsqu’on répond), nous allons passer cette phrase au crible des questions.
Le brouhaha va grandissant dans la pièce. Je perçois des bribes de dialogues : « Est-ce vrai ? » « Oui, quand je commence un travail, je veux tellement bien faire que ça m’empêche toute fantaisie, originalité. » Je demande au « client » assis en face de moi : « Peux-tu absolument savoir si c’est vrai ? » Il hésite. « Non, parce que parfois en étant très précis et appliqué, perfectionniste, me répond-il, j’ai vu arriver de bonnes idées… » J’enchaîne : «Quelle réaction suscite en toi cette pensée ? » Il ferme les yeux, se tait un moment. « Ça me coupe les ailes, je retarde le moment de commencer mon travail… »
Et ainsi de suite jusqu’à ce que cette pensée, apparemment si personnelle, précieuse, profonde, soit essayée par tous, « triturée » en quatre ou cinq inversions possibles, au point de perdre finalement tout son impact. Son
auteur, ma voisine, rit, s’amuse de voir tous les scénarios que son texte de départ a suscités avant d’être comme dissous dans l’espace. Je me dis que c’est là l’effet Karcher du « travail », une sorte de nettoyage radical et en profondeur nous évitant de rester « accrochés » aux pensées qui nous encombrent.
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Je change mon regard
Arrive le moment fort de la soirée. Le face-à-face entre Frank et une volontaire. Voir comment notre mental fait barrière à notre bien-être est très pédagogique. Deborah, la belle quarantaine, expose son problème : « Pierre, mon compagnon, n’est pas assez intime avec moi. Il ne s’intéresse pas à moi, ramène toujours la conversation à lui… »
Frank rappelle une des consignes de Byron Katie : « Laissez le mental poser les quatre questions, laissez le coeur
y répondre. » Puis il commence l’investigation : « Est-ce vrai ? » « Oui, j’aimerais bien qu’il s’intéresse plus à moi, mais il s’intéresse plus à ce que je pense de lui… » Frank demande alors à Deborah de se visualiser dans une pièce avec son compagnon. « Vous regardez Pierre et vous pensez : “Il ne s’intéresse pas à moi.”… Etes-vous certaine que c’est vrai ? »
« Oui, je le vois indisponible, isolé, il me semble difficile à approcher… » Frank l’arrête : « Et vous, qu’est-ce que vous ressentez ? » « J’en ai assez de cette situation, je me sens résignée, en crise toute seule dans mon coin… »
« Comment seriez-vous sans cette pensée ? », continue le facilitateur. « Eh bien… je crois que je me dirais
simplement : “Tiens, il lit son journal”, je pourrais alors être plus légère, plus libre d’aller lui parler… » Peu à peu, Deborah réalise combien elle s’éloigne de toute intimité avec Pierre. Frank lui propose d’inverser sa pensée de départ, qui devient : « Je devrais m’intéresser plus à lui », ou encore : « Je devrais m’intéresser plus à moi-même.
»
Le dialogue, intense, dure près de trente minutes. Pour Deborah, l’idée qu’« un homme doit s’intéresser à sa
femme » mène le bal. Mais cette pensée est-elle enrichissante, ouvre-t-elle à des pistes d’épanouissement ou
d’aliénation ? Deborah découvre qu’elle a toutes les réponses en elle. The Work lui a permis d’aller les chercher.
Je quitte le stage avec la sensation d’être prête à vivre avec un esprit plus ouvert, allégé. Je me dis qu’en France, où l’on est tellement attaché à ses idées, on aura du mal à comprendre ce genre de technique. Puis, très vite, je pense : « Est-ce vrai ? »
Les quatre questions
Adresses
A Paris
Maison de la Mutualité,
24, rue Saint-Victor, 75005 Paris
Contact Association The Work France (Frank Kane),
10, rue Brise-Echalas, 93200 Saint-Denis.
T. : 01.42.43.27.66.
A Bruxelles
Hôtel Renaissance,
rue du Parnasse 19, Bruxelles, 1050
Contact : Myriam Lebrun, Stimul’In asbl,
29, avenue de la Topaze, Bruxelles, 1030.
T. : 0032.2.732.01.68.
« Derrière chaque sensation désagréable se cache une pensée qui n’est pas vraie pour nous », affirme Byron
Katie. Lorsque vous ressentez un malaise, menez un travail d’investigation : soumettez votre pensée à quatre
questions, toujours les mêmes. N’hésitez pas à vous munir d’une feuille et d’un crayon, ou à vous adresser à un proche.

A propos de cette pensée, demandez-vous :
- “Est-ce vrai ?”
Ecrivez ou énumérez différents développements de cette pensée.
- “Pouvez-vous absolument savoir si c’est vrai ?”
Avez-vous des preuves concrètes de ce que vous avancez ? Si oui, lesquelles ? Quels éléments vous permettent
d’affirmer cela avec certitude ?
- “Quelle réaction suscite en vous cette pensée ?”
Entrez en contact avec les sentiments que fait naître en vous cette pensée. Quels comportements en découlent ?
- “Qui seriez-vous sans cette pensée ?”
Imaginez-vous libéré d’un tel scénario. Que feriez-vous de différent ? Comment cela changerait-il ?
Retournez votre phrase. Plusieurs types d’inversions sont possibles : on retourne le jugement vers soi-même,
vers l’autre et vers son contraire. Exemple : « Paul devrait m’aimer » peut devenir « Je devrais m’aimer », « Je devrais aimer Paul », « Paul ne devrait pas m’aimer. » Inversez l’affirmation initiale à votre guise jusqu’à ce que vous trouviez l’inversion qui vous touche le plus.
Katie Byron
Femme d’affaires alcoolique, dépressive et constamment sous tranquillisants, Byron Katie mène jusqu’en 1986
une vie sans espoir. Elle alterne crises de boulimie et périodes d’abattement, jusqu’à la sensation de vivre un «
effondrement de la personnalité ». Elle intègre alors un centre de cure. Durant son séjour et ses longues marches dans le désert Mojave, elle vit une forme d’éveil : « C’est comme s’il n’y avait plus de moi, écrit-elle. J’ai pu voir monter toutes les pensées qui m’envahissaient, et surtout je ressentais leur impact sur mon corps. » Peu à peu, à force de questionner ces pensées, elle s’en libère et se transforme.
Depuis 1992, elle dispense son enseignement dans tous les Etats-Unis, dans les prisons, les écoles et les
hôpitaux. Son livre, Aimer ce qui est (Editions Ariane, 2003), est devenu une véritable référence.
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http://chante-coeur.over-blog.com/categorie-10358230.html
Mettre par écrit la pensée ou jugement stressant
Voici une pensée stressante : « Mon conjoint ne m’écoute pas »
Les quatre questions et l’inversion :
1. Est-ce que c'est vrai ?
2. Pouvez-vous absolument savoir que c'est vrai ?
3. Comment réagissez-vous quand vous croyez cette pensée?
4. Qui seriez-vous sans cette pensée ?
Appliquez tour à tour chaque question à la pensée stressante. Asseyez-vous dans le calme et posez-vous la
question, puis attendez ; laissez la réponse venir de l’intérieur.
Après avoir posé les quatre questions, inversez l’énoncé en formulant son contraire. Par exemple l’inversion de «
Mon conjoint ne m’écoute pas » serait « Mon conjoint m’écoute ».
(L’inversion est un moyen d’expérimenter le contraire de ce que nous croyons)
Trouvez trois exemples vrais de cette affirmation.
D’autres inversions sont possibles, entre autres : « Je ne m’écoute pas » « Je n’écoute pas mon conjoint ». Pour
chaque inversion, trouvez trois exemples.
Quand nous investiguons nos pensées stressantes, nous finissons par constater que tout ce qui nous a posé
problème n’est qu’un malentendu. Nous nous rendons compte que ce que nous croyons n’est pas
nécessairement vrai. C’est le début de la liberté. Le Travail fait toujours de nous un être humain plus aimable,
plus lucide et plus heureux.
source du texte : ici
Une voie pour l'ouverture au bonheur intérieur qui ne demande qu'à Etre rieur, qu'à Etre.
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ur le chemin, j'ai eu «amours» avec un certain nombre de livres et de maîtres. Certains ont duré, la
plupart ont été l'équivalent d'spirituelle d'une nuit. De toutes les cassettes, des livres et des méthodes
je suis tombé sur le chemin, Katie processus de Byron (qu'elle appelle "Le travail" ) se distingue comme
l'une des perles rares qui ont eu un effet de guérison durable et notable sur mon esprit. Ironiquement,
il n'est pas vraiment quelque chose "spirituel" sur ce processus.
Une semaine en Novembre, je ne savais rien de Byron Katie, la semaine prochaine, je n'avais entendu
parler d'elle à partir de trois sources. Comment typiques. Bientôt quelqu'un m'avait donné la version
livre audio de Aimer ce qui est. Je me souviens de l'écouter sur les bus longue distance en Egypte, sa
voix dans mes écouteurs couvrant le Coran qui a joué non-stop sur le système de son, puis la finition
des bandes dans une petite chambre d'hôtel à Siwa, une ville oasis par le frontière de la Lybie où j'avais
enfermé pendant quelques semaines. Le livre est au bon moment pour moi. J'ai été dans ce que
j'appelle maintenant la "phase désherbage" de mon cheminement spirituel. Après avoir essayé des
techniques compliquées pour essayer de «fleurs belle plante» en moi, j'avais changé mon approche
complète et a décidé que je l'ai déjà vécu dans un parfait jardin tout ce que j'avais était de supprimer
les mauvaises herbes!
Cette parole d'un maître soufi parfaitement encapsulé l'idée:
"Ne pas chercher la vérité;. Abord essayer de vous purifier"
(Sidi Hamza Al Qadiri Al Boutchichi)
Byron Katie m'a donné un cadre pour commencer le désherbage. Avec l'aide de sa méthode, j'ai
commencé à travailler systématiquement sur les rancunes j'avais porté vers de nombreuses personnes
à travers les années, et, comme mes boutons été poussé par les circonstances, à travailler sur les
modèles qui m'avait déclenché pendant une longue période.
Les effets de la méthode de Byron Katie ont été immédiats et spectaculaires. Plus tard, de façon
permanente à guérir les patterns l'esprit de certains qui avaient une tendance à la récolte back up, j'ai
conçu un processus en trois parties pour mon propre usage. Travail de Byron Katie a été la première
partie de ce processus. Un jour, je voudrais écrire une page sur cette méthode, qui m'a énormément
aidé sur le chemin.
Cette page Byron Katie est un travail en cours. À l'heure actuelle, il est «Upside Down»: plutôt que de
commencer cette page à un explation de "L'Oeuvre" (que vous pouvez lire sur Katie site Byron), j'ai
commencé par griffonner quelques malentendus et les blocages qui entravent souvent la voie lorsque
les gens commencent avec la technique de Katie.
Malentendu # 1: Responsabilité
Quand vous vous asseyez à travailler sur un jugement, avec les quatre questions, à le «revirement»
stade, des déclarations qui a commencé avec «ils devraient» ou «ils ne devraient pas avoir" suggèrent
souvent des déclarations qui commencent par «je» ou «Je ne devrait pas avoir ".
À ce stade, certaines personnes ont un problème parce qu'ils pensent que la déclaration d'exécution
leur dit de prendre la responsabilité d'une situation qui a eu lieu dans le passé, souvent à un moment
où ils étaient trop jeunes pour le contrôler. Il s'agit d'une mauvaise compréhension de l'intention
derrière la scène d'exécution. déclarations de redressement ne sont pas destinées à être prises comme
des vérités, mais que des fenêtres à d'autres interprétations possibles. Si une déclaration d'exécution
dit: «J'aurais dû» ou «Je n'aurais pas dû", ce n'est pas vous dire de prendre la responsabilité de
quelqu'un d'autre actions. Il est là pour secouer votre esprit: parfois la déclaration comporte un
aperçu.
En fait, il n'ya pas de «devrait» de Byron Katie. Pas de votre côté, et non sur le côté de l'autre
personne. Les choses sont ce qu'elles sont. Donc si vous avez l'impression que le travail vous dit que
vous devriez faire, il vous manque quelque chose.
Qu'en est-il la responsabilité? Si ce n'est pas eux, si ce n'est pas moi, qui est responsable? Le travail
ne traite pas ces questions. Dans le contexte des travaux, ces questions n'ont aucun sens en fait.
Si vous voulez vraiment faire dans la responsabilité, alors on pourrait dire que dans un sens, vous êtes
responsable pour les pensées et les émotions dans votre esprit aujourd'hui. Pas responsable dans le
sens où vous l'origine de ces émotions et les pensées: Vous avez déclenché, les pensées et les
émotions surgissent. Mais responsables dans le sens (presque un cliché spirituelle de nos jours) de la
«réponse-mesure". Vous êtes en mesure de répondre à ces émotions et les pensées. Vous pouvez
répondre. Vous avez un outil à la main. Si vous choisissez de ne pas répondre, vous choisissez de
rester avec ces émotions et les pensées. C'est votre choix.
Dans un sens, personne ne peut vous faire souffrir. Vous avez les outils, donc vous avez le choix. En
ce sens, vous êtes responsable.
Block # 1: Analyse (avec ou sans léthargie)
Une chose qui est souvent dans la voie de la technique de Byron Katie est la résistance d'une
personne à s'asseoir avec un stylo et du papier pour faire le travail. Le premier symptôme de cela est
lorsque cette personne vous dit ce qui ne va pas avec Byron Katie, ou comment ils d'accord avec cette
partie, mais pas avec cette partie. L'esprit est vraiment bon à aller dans toutes sortes d'activités et de
produire toutes sortes de justifications pour ne pas faire un travail sérieux sur elle-même, que ce soit
par paresse ou parce qu'il n'est pas prêt à résoudre ses problèmes. Quand je vois ce à quelqu'un, ça
me rend un peu triste, parce que cette personne dispose d'un outil pour mettre fin à une grande partie
de sa souffrance dans sa main, mais choisit de ne pas, parfois zoom off à la méthode suivante avec
laquelle d'accord ... ou avec lesquels se mettre d'accord, si cette méthode est une impasse:)
Block # 2: Mon histoire est différente
Dans cette situation, quelqu'un lit un livre Byron Katie ou l'écoute de ses bandes proclame alors «C'est
vraiment super, mais il ne s'applique pas à moi. Mon histoire est différente." Ouais, c'est ça. Comme
tout le monde qui pense que son histoire est différente. Cette personne voit qu'en quelque sorte, tout
le monde sur la bande avait une histoire qui devait être mis en perspective. Mais histoire de cette
personne se trouve être différente. "Savez-vous ce qu'ils ont fait pour moi? Pourquoi aurais-je à
travailler sur moi? Ce sont eux qui devraient me demander de leur pardonner." Une autre façon d'éviter de faire le travail (voir Block # 1 ).
Block # 3: Mon histoire est vraie
La plupart des gens croient qu'ils souffrent à cause de ce que quelqu'un a déjà fait pour eux. Mais où
est-il aujourd'hui? La vérité, c'est qu'ils souffrent à cause de l'histoire qui continue à jouer dans leur
esprit.
Cette histoire, "je souffre à cause de ce qu'ils ont fait", c'est une histoire forte. Si vous pensez que
cette histoire est réelle, alors vous êtes coincé. Si "ce qu'ils ont fait pour vous" est la source de vos
souffrances, que pouvez-vous faire? Pourquoi même essayer de travailler là-dessus?
Il peut être difficile de voir que cette histoire («Je souffre à cause de ce qu'ils ont fait") n'est pas réel.
Il peut être difficile parce qu'il est humain de penser que ce que nos esprits nous montrent doit être
droit, et nous savons la vérité sur ce qui s'est passé
Donc, il ya une résistance naturelle à l'évolution de nos histoires de ce «ils» nous ont fait. Non
seulement parce que nous aimons à penser que notre esprit ne peut pas nous tromper et de l'histoire
doit donc être réel, mais aussi parce que, trop souvent, nous sommes en amour avec nos histoires de
souffrance. Nous avons tellement investi dans ces histoires que nous ne voulons pas y renoncer. Ils
font partie de notre identité. Ils font partie de «qui nous sommes".
Sans votre «Je souffre à cause de ce qu'ils ont fait" l'histoire, vous ne serait pas la même personne-un
peu comme une version de vous dans un univers parallèle. Par conséquent, le lâcher de l'histoire est
un peu comme mourir. Du point de vue de l'esprit, c'est un peu effrayant. Qui serez-vous si vous ne
pouvez pas dire que l'histoire de plus?
Si vous voyez l'esprit de décrochage, en disant: «Je ne veux pas travailler sur ce modèle", il suffit de
vous forcer à s'asseoir et à faire les quatre questions. La surprise est que le montant de l'allégement
vous vous sentez après avoir fait le travail est proportionnelle à la quantité de la résistance que vous
aviez à faire le travail avance.
D'une certaine façon, votre esprit est "soufflé": Vous ne savez plus ce que vous saviez. Et c'est
merveilleux. Vous voulez rire. Vous envie de pleurer. Vous ne pouvez pas croire que vous avez
attendu si longtemps. Donc, plus vous résister, meilleure est la raison de vous forcer à faire le travail!
Coming Soon
Cette section sert un espace réservé pour me rappeler des concepts que je voudrais aborder rapidement:
- Bientôt:)
Katie Byron Quotes
Voici des fragments qui ont frappé au bon endroit à un certain moment pour moi ou mon dame de
compagnie. Ils peuvent être évident, mais parfois, je tiens à rappeler l'évidence.
"Votre compréhension d'une autre personne est limité par ce que vous pensez que vous savez déjà."
(I Need Your Love, est-ce vrai?, P. 51 («Cherche approbation")
En vous souhaitant une belle journée,
Sourires,
Andy
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http://www.byronkatie.com/

THE WORK : 

Utilisez les quatre questions suivantes et sous-questions pour enquêter sur une croyance stressante, par
exemple, «Ma mère ne m'aime pas." (Certains de ces sous-questions peuvent ne pas s'appliquer.)
1. Est-il vrai?
(Fermez les yeux, être encore, rendez-vous profondément que vous contemplez votre réponse.
Si votre réponse est non, passez à la question 3.)
2. Pouvez-vous absolument savoir que c'est vrai?
- Pouvez-vous en savoir plus que Dieu / la réalité?
- Pouvez-vous vraiment savoir ce qui convient le mieux à long terme pour son / votre propre chemin?
- Pouvez-vous absolument savoir que vous seriez plus heureux si vous avez obtenu ce que tu voulais?
3. Comment réagissez-vous quand vous avez cette pensée? (Quand vous croyez que la pensée?)
- D'où vient le sentiment que vous a frappé, où voulez-vous le sentez dans votre corps quand vous croyez
que la pensée? Jusqu'où va le Voyage sentiment? Décrivez-le.
- Quelles images voyez-vous quand vous croyez que la pensée? Regardez-le, être encore, un avis.
- Quand est-ce la première pensée se présenter à vous?
- Comment pouvez-vous traiter les autres lorsque vous croyez que la pensée? Que voulez-vous leur dire?
Que faites-vous? Qui votre esprit d'attaque et comment? Soyez précis.
- Comment pouvez-vous vous faire plaisir lorsque vous croyez que la pensée? Est-ce là la toxicomanie et
de coup de pied dans ce que vous atteigniez la nourriture, l'alcool, les cartes de crédit, la télécommande
du téléviseur? Ne pensées de haine de soi se produire? Que font-ils?
- Comment avez-vous vécu votre vie parce que vous avez cru que la pensée? Soyez précis. Fermez les
yeux, regardez votre passé.
- Est-ce que la pensée d'apporter la paix ou le stress dans votre vie?
- D'où vient votre Voyage esprit lorsque vous pensez que la pensée? (Liste des croyances sous-jacentes,
et en savoir davantage plus tard.)
- De quelles affaires vous vous trouvez lorsque vous avez cette pensée?
- Qu'est-ce que vous obtenez pour s'accrocher à cette croyance?
- Pouvez-vous trouver une raison pacifique de garder cette pensée?
- Quelle terrible chose ne vous assumez qui se passerait si vous ne croyez pas que la pensée? Notez cette
terrible pensée, et retournez-le à l'opposé et le tester par vous-même - est le contraire comme vrai ou
plus vrai?
4. Qui seriez-vous sans la pensée?
- Comment aimeriez-vous vivre la vie différemment si vous ne croyez pas que la pensée? Fermez les
yeux et imaginer la vie sans elle.
Imaginez que vous êtes la réunion de cette personne pour la première fois sans histoire. Que voyezvous?
- Qui êtes-vous en ce moment, assis ici sans cette pensée?
Retournez la pensée.
(Déclarations peut être tournée autour de vous, à l'autre, à l'opposé, et à «ma pensée», là où elle
s'applique. Trouver un minimum de trois exemples authentiques dans votre vie où chaque retournement
est aussi vrai que vrai ou que l'original déclaration.)
- Si vous avez vécu ce retournement de situation, que feriez-vous, ou comment vous vivez votre vie,
différemment?
- Voyez-vous des retournements d'autres qui semblent aussi vrai ou plus vrai?
Les retournements vous permettre de voir le meilleur plan d'action pour vous.
La clé de l'expérience Le travail est d'aller au-delà des réponses rapides de l'intelligence et accéder
à une sagesse plus profonde. Demandez ensuite être encore et d'attendre une voix intérieure pour
y répondre. Avec la pratique, cela deviendra plus facile. Vous allez apprendre à compter sur vousmême
et non pas le monde à voir ce qui est vrai pour vous.
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http://www.viesurmesure.com/2009/11/29/aimer-ce-qui-est-le-travail-de-byron-katie/
Aimer ce qui est : Le Travail de Byron Katie
l y a plus d’un an, je suis tombée sur ‘Le Travail’ de Byron Katie. J’ai regardé le site web et quelques vidéos, sans bien comprendre l’importance de ce que j’étais en train de découvrir.
Il y a quelques mois, un ami de Facebook m’en a reparlé, en même moment que j’ai été aiguillée de nouveau
vers ses livres. J’ai découvert une philosophie de vie, et une méthode extraordinaire, pour éradiquer ses pensées négatives, arrêter la souffrance, et vivre dans le présent d’une manière joyeuse et plein d’espoir.
C’est très simple. Et très puissant.
1/ Trouvez une pensée précise qui vous fait mal, qui vous ronge, qui vous empoisonnent la vie et vous
empêchent de vous sentir bien. Pour vous aider à réfléchir, voici une liste partielle de ‘croyances universelles qui nous bouffent la vie.’
Je dois rendre heureux les autres
J’ai besoin de prendre une décision
Je suis trop grosse
Je ne gagne pas assez d’argent
J’ai besoin d’un partenaire pour être heureux
Il/Elle m’a rejeté
J’ai besoin de prendre une décision
Je ne peux pas faire d’erreur
Il/Elle m’a abandonné
Je suis malade et ça me fait peur
Les autres vont me juger
Les enfants devraient aimer leurs parents et les parents devraient aimer leurs enfants
Il ne faut pas que je me ridiculise
La vie est difficile
Et ainsi de suite… je suis sûre que vous pouvez en trouver beaucoup d’autres…
2/ Maintenant, posez-vous les 4 questions suivantes:
▪ Est-ce que c’est vrai? (oui ou non… pas d’explications)
▪ Pouvez-vous absolument savoir que c’est vrai? (oui ou non)
▪ Que se passe-t-il, et comment réagissez-vous, quand vous croyez cette pensée? Cette pensée vous
apporte de la paix, ou du stress? Ecoutez ce qui vient, ressentez comment votre corps réagit quand vous avez cette pensée. Avez-vous un noeud à l’estomac, serrez-vous les dents, fermez-vous votre coeur?
▪ Que seriez-vous sans cette pensée? Fermez les yeux et imaginez que vous êtes en train de faire les choses
de tous les jours, mais cette fois-ci sans une fois avoir cette pensée. Comment vous sentirez-vous? A quoi votre vie ressemblerait-elle sans cette pensée?
3/ Ensuite, retournez votre croyance dans tous les sens.
4/ Apprenez à accepter ce qui est, et faites en sorte que ‘l’ennemi’ devient un ami (pensée négative devient
quelque chose de positive).
Je vous donne un exemple qui vient de ma propre vie.
Voici la phrase qui me fait mal quand j’y pense : ‘J’ai besoin que mon fils soit moins coléreux, plus raisonnable, et qu’il m’aide plus quand il est à la maison.’
▪ Est-ce vrai? Oui
▪ Est-ce que je peux être absolument sûre que c’est vrai? (eh, bien, non, peut être s’il était plus raisonnable, il serait malade! Peut-être il est aussi raisonnable que tous les autres ados..)
▪ Que se passe-t-il, quand j’ai cette pensée? Je me mets en colère, tout doucement, comme si j’allumais une
cocotte minute. Je serre le mâchoir. J’attends des provocations (qui viennent, toujours, quand je les attends..).
J’ai mal au ventre. Je me prépare à une bataille. Ca m’apporte du stress, le simple fait de penser qu’on va
arriver à un conflit.
▪ Que serais-je sans cette pensée? Je serais heureuse et calme, capable de profiter de la présence de mon fils, qui peut être si gentil quand il veut! Je serais libérée!
Maintenant, je retourne ma croyance.
J’ai besoin que mon fils soit moins coléreux, plus raisonnable et qu’il m’aide quand il est à la maison, devient : Je n’ai pas besoin que mon fils soit moins coléreux, plus raisonnable, et qu’il m’aide quand il est à la maison.
Comment est-ce vrai?
Eh, bien, je n’ai pas besoin qu’il change. Il n’a pas besoin de m’aider, car je ne dois pas toujours faire tout ce qu’il me demande non plus! Son linge, il pourrait le faire lui-même! Je n’ai pas besoin qu’il soit moins coléreux, c’est moi qui pourrait quitter la pièce quand il devient comme ça, quand il essaie de me provoquer. Je n’ai pas besoin qu’il soit plus raisonnable pour vivre ma vie comme je l’entends.
Je pourrais aussi retourner la croyance ainsi :
J’AI besoin d’être moins coléreuse, plus raisonnable, et de m’aider plus quand il est à la maison. Et c’est vrai.
Quand je suis moins énervée, les choses se passent 100 fois mieux. Quand je peux voir ’sa’ version des choses, je suis moins stressée et lui aussi. Et j’ai besoin de m’occuper plus de moi-même quand mes fils sont là le
weekend.. de m’accorder plus de moments de détente. Après tout, c’est MON weekend aussi!
Je pourrais aussi retourner la question ainsi : IL A BESOIN d’être moins coléreux, plus raisonnable, et m’aider plus quand il est à la maison. Car il se sent coupable quand il se met en colère. Quand je suis plus détendue, il est beaucoup plus souriant et heureux, ça se voit. Ou, il a besoin que JE sois moins coléreuse, plus raisonnable, et l’aider quand il est à la maison.
Dernière étape : Prenez votre croyance, et retournez-la comme suit : ‘Je suis prêt à accepter que…’, ou
‘Cette expérience est une bonne chose parce que….’
Moi, je dirais : ‘Mon fils est coléreux et pas raisonnable et il ne m’aide pas à la maison, mais c’est une bonne
chose car il s’exprime clairement, sans nuance, et il ne garde pas les choses pour lui. Il est ouvert, il discute de tout avec moi. Je peux accepter des moments de rage et de colère, car je sais que ça passe toujours. Il m’apprendà être plus patiente, et être moins coléreuse moi-même. Je peux l’accepter comme il est.’
Voyez-vous comment ça marche?
Byron Katie nous explique que ce n’est pas ce que l’on VIT, qui nous ronge et crée les difficultés, mais ce que l’on PENSE.
Nous passons toute notre vie à nous battre contre la réalité de CE QUI EST, rabâchant les mêmes idées,
comme des tocs, encore et encore et encore.
Et si nous pouvions faire la paix avec cette réalité, et apprendre à l’aimer, même les choses qui nous semblent ‘mauvaises’?
Nous pouvons le faire en nous rendant compte que ce n’est pas ce qui nous arrive qui nous rend anxieux, ou
triste, ou mal, mais la simple pensée. Souvent, ces pensées nous renvoient dans le passé (on voit des images
de ce qui s’est passé, on a des regrets, ou la honte, ou la peur). Ou bien, elles nous projettent dans un avenir
plein d’angoisses (comment vais-je vivre sans lui? Aurais-je assez d’argent pour vivre? Et si je ne guéris pas,
vais-je mourir? Vais-je souffrir?)
Quel est le rapport entre le Travail de Byron Katie et la Loi d’Attraction?
Tout ce que nous faisons, pour créer une meilleure vie, est toujours fait dans le PRESENT. Le passé et le
futur existent uniquement dans nos têtes. Et pour attirer à nous les choses, les personnes, et les expériences
qui changeront votre existence, il faut nous débarrasser des pensées et des images ravageuses qui trottent
dans nos têtes du matin au soir.

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Traduction à la con via Google traduct. : sorry, faites preuve d'imagination et notez surtout le fond de l'article.

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Sinon, A voir et avoir absolument !!!  ;-)    http://www.eau-papillon.be/

Lenny from le Royaume de Belgique

2 commentaires:

  1. Voici un email reçu le 12 février 2014. Merci beaucoup Kevin ;-)

    Bonjour Lenny,

    Tout d'abord, bravo pour votre blog Lenny Santé, il est original dans son approche et j'y trouve beaucoup de choses intéressantes (et contrairement à d'autres, il est plus "franc", pas sûr que vous voyez ce que je veux dire, mais c'est positif !).
    J'ai également pu y voir que vous avez parlé de Byron Katie il y a quelques temps.
    Je voulais donc vous informer, si vous n'êtes pas déjà au courant, de la venue de Byron Katie à Paris le samedi 12 juillet 2014.
    Pour promouvoir cet événement, un site dédié à été créé sur lequel il y a toutes les informations disponibles : www.byron-katie-paris-2014.com, ainsi qu'une page Facebook : http://www.facebook.com/LeTravaildeByronKatie.
    Si vous pouvez en parler sur votre blog (je pense que cela intéressera vos lecteurs) ou auprès de vos connaissances, ce serait vraiment super !
    L'objectif est que cette journée avec Byron Katie soit un succès et qu'elle revienne nous voir plus souvent !

    Merci, bonne journée, et bon courage dans votre quête de l'âme soeur !

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  2. Etant actuellement en grand chamboulement perso, je trouve essentiel d'apporter mon témoignage (très perso, de fait!) à travers une thérapeute de cette technique : en ce qui me concerne, cela n'a pas marché du tout (sauf pour la personne - suédoise - qui a rempli ses poches, tout en vidant les miennes. Oups !!). Bref, soyez vigilant lorsque qu'un soi-disant prix exorbitant est justifié par des effets mmiiiraaacuuuleuxxx. Bull Shit ! Voilà voilààà, ça c'est dit... ;-)

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Vous avez testé? Votre avis m'intéresse.