dimanche 1 avril 2012

L'argent colloïdal


Vu sur un site luxembourgeois dont les explications sont très précises et souvent très pertinentes (laboC...)  ;-)



L'Argent Colloïdal :

L'usage médical de l'argent est l'héritier d'une longue tradition.

Les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider a leur cicatrisation.

Vers 400 avant J.C., Hippocrate enseignait que la fleur d'argent (poudre extra-fine) cicatrisait les blessures ulcères.

En 69 avant J.C., le nitrate d'argent figurait dans la pharmacopée romaine.

En 78, Pline l'Ancien écrit dans son Histoire naturelle que l'argent possède des propriétés thérapeutiques et se révèle  très efficace dans la cicatrisation des blessures quand il est incorpore aux plâtres. 

Gerber
 (702-765), musulman fondateur d'une école associant astrologie et alchimie, rapporte que le nitrate d'argent possède des propriétés thérapeutiques.

Avicenne
 (980-1037), médecin et philosophe iranien, utilisait l'argent pour purifier le sang, entre autres sous forme de poudre et de pilules argentées.

Paracelse (1493-1541), alchimiste et médecin suisse, conseillait lui aussi l'usage médical de l'argent.

Les médecins chinois et asiatiques
 utilisaient l'argent dans la fabrication de toniques a base de plantes, ainsi que pour traiter infections, suppurations chroniques, blessures septiques, fièvres et sinusites.

L'argent est toujours utilise dans la médecine traditionnelle indienne (ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques, inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et ménorragies.

Au début du XVIIIe siècle un chercheur anglais utilisait l'argent dans le traitement de l'épilepsie et d'autres désordres nerveux.

En 1884, un obstétricien allemand, Franz Crede, observant qu'un certain nombre d'enfants naissaient aveugles après avoir été exposes a des germes vénériens lors de leur expulsion de l'utérus, eut l'idée d'instiller dans les yeux des nouveaux-nés une solution a 1 % de nitrate d'argent. Avec l'instauration de cette pratique, le taux d'ophtalmie des nouveaux-nés tomba rapidement de 10 % a 0,2 %.

En conséquence, cette pratique devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens ; elle se poursuivit même après l'apparition des premiers antibiotiques en 1940.

En 1893, un botaniste suisse, Karl von Nageli, rapporta que des bactéries mises en contact avec une solution de nitrate d'argent (titrée a 10 parties par million) mouraient en trois ou quatre minutes.

En 1897, le Dr Benno C. Crede introduisit l'usage en médecine de l'argent colloïdal, spéculant qu'il pourrait posséder les propriétés germicides des sels d'argent sans en avoir la toxicité.

Par la suite, les colloïdes d'argent furent largement employés par voie interne pour lutter contre diverses infections bactériennes (septicémie, fièvres rhumatismales, arthrite, blennorragique, diphtérie, méningite cérébro-spinale, etc.).

Pendant la première guerre mondiale, des feuilles d'argent étaient utilisées pour combattre l'infection des blessures, ce qui renouait avec la lointaine tradition des Macédoniens.

Au début du XXe siècle, la médecine occidentale avait donc refait la preuve des remarquables propriétés thérapeutiques de l'argent.

Des lors son emploi se généralisa et il devint l'un des médicaments les plus administres, aussi bien par voie interne que sous forme d'injections intraveineuses et intramusculaires, de gargarismes, de gouttes (nez, yeux, oreilles), d'applications locales.

En 1938, on comptait plus de quatre-vingt-dix préparations médicales brevetées a base d'argent. L'argent colloïdal était alors un traitement "orthodoxe" et parmi ses fabricants on notait le nom de grandes entreprises pharmaceutiques comme Merck, Schiff, Park Davis & Co.

Mais a partir de la, il allait rapidement céder la place a de nouvelles substances qui semblaient révolutionner la médecine. L'ère des antibiotiques3 venait de s'ouvrir. Ceux-ci étaient d'un emploi beaucoup plus simple et coûtaient beaucoup moins cher que les produits a base d'argent. Ces derniers en effet étaient a l'époque d'un coût très élevé (jusqu'a l'équivalent de 200 Euros pour un flacon de 30 ml, soit 2 cuillerées a soupe !) et du fait des techniques rudimentaires utilisées pour sa production, il contenait des sels d'argent et/ou de très grosses particules, sources de toxicité potentielle en cas de consommation excessive ou trop prolongée.

Le magazine H.E.L.P.fuI News5 a publie une liste des diverses maladies traitées avec succès par l'argent colloïdal et rapportées dans la littérature médicale.

Dans cette liste figurent entre autres les affections suivantes :
Amygdalite, angine, appendicite, blennorragie, blépharite, catarrhe nasale, colite, coqueluche, cystite, diarrhée, diphtérie, dysenterie, eczéma (diverses formes), furonculose, grippe, hémorroïdes, impétigo, intestins (troubles intestinaux), leucorrhée, Manière (syndrome de), méningite cérébro-spinale, ophtalmie purulente des nouveaux-nés, oreille (affections de I'), phlegmons, prostate (hypertrophie), prurit anal, pyorrhée alvéolaire, rhinite, rhumatismes inflammatoires, scarlatine, septicémie, teigne, typhoïde, ulcères septiques (jambes), verrues, vessie (irritation).

Dans un ouvrage publie en 1919, le Dr Searle dit que l'argent colloïdal détruit les toxines libères par les microbes. Une étude démontra que  son action destructrice sur les toxines est très prononcée, a tel point qu'il protége les lapins d'une dose de toxine tétanique ou diphtérique dix fois supérieure a la dose mortelle. 

Sir Malcolm Morris a observe que l'argent avait un effet calmant très net. Il fait rapidement disparaître l'inflammation et accélère la guérison des lésions. Ce médecin dit avoir obtenu de remarquables résultats contre l'hypertrophie de la prostate avec irritation de la vessie, l'eczéma et les hemorroides.

L' Argent colloïdal que nous vous proposons a été élaboré a partir d'une base d'eau distillée ultra pure de qualité pharmaceutique et d'électrodes d'argent pur à 999 pour 1000.
L'Argent colloïdal ne dois pas être conservé dans des flacons ou bouteilles en plastique, c'est la raison pour laquelle nous vous le proposons dans des flacons en verre.
L'Argent colloïdal doit être parfaitement transparent.
Grâce a cela nous pouvons vous offrir une meilleure efficacité.

Dose de référence :
L'EPA  a établi pour l'argent une dose orale de référence et une dose orale critique.
La dose orale de référence (DRf) est une estimation de l'exposition limite quotidienne pendant toute la durée de la vie humaine (70 ans).
Exposition limite veut dire sans risque appréciable d'effets nocifs.
La DRf a été fixée a 5 mcg par kilo corporel et par jour, soit 350 mcg pour un adulte de 70 kg ;
ce qui correspondrait a l'ingestion quotidienne pendant 70 ans de 35 ml, soit 7 cuillerées a café, d'argent colloïdal a 10 ppm.
La dose orale critique est la quantité journalière a ne pas dépasser.

Elle a été estimée a 15 meg/kg, soit 1.05 mg pour un adulte de 70 kg ;
ceci correspondrait a 105 ml, soit 7 cuillerées a soupe, d'une solution d'argent colloïdal a 10 ppm.

Dose létale :
Lors d'une expérience réalise en 1931, les Dr Shouse et Whipple2 ont injecte 500 mg de Collargol (un compose contenant 87 % d'argent et 13 % de protéines) a un chien pesant 23 kg (soit près de 19 mg d'argent par kilo). L'animal est mort douze heures plus tard.
Sa mort fut attribuée a une congestion pulmonaire et de l'oedème.

Pour un homme de 70 kg ceci équivaut a 1,324 gd'argent (soit 132,4 litres d'une solution d'argent colloïdal a 10 ppm !!) prisent en une fois !
es médecins ont aussi note que des doses de 200 a 300 mg de collargol (soit l'équivalent de 53 a 80 litresd'argent colloidal a 10 ppm !) étaient bien tolérées.

Nous sommes évidemment assez loin des quelques cuillerées a soupe "autorisées" par l'EPA !

Effets secondaires :
L'argyrie est l'effet secondaire le plus souvent cite dans la littérature médicale a propos de l'argent.
Elle résulte d'une ingestion massive et prolongée d'argent métallique, d'oxyde d'argent ou de sels d'argent (nitrates, sulfates) et se caractérise par une décoloration permanente de la peau.

Celle-ci prend une teinte gris-bleu due a l'oxydation de particules d'argent déposées sous la peau, en particulier après exposition de la peau au soleil. L'argyrie n'est pas douloureuse et n'a pas d'autres conséquences que ce désagrément esthétique.

Les utilisateurs d'argent electro-colloïdal pur ne sont pas concernes par cette affection, car ici encore toutes les études et données concernant l'argyrie (que nous ne citerons pas) se réfèrent a des sels ou a des composes d'argent. Aucun cas d'argyrie n'a jamais été rapporte en ce qui concerne l'argent electro-colloïdal isole et pur.

Voici d'ailleurs ce que dit Alexander Schauss  a propos de l'argyrie : ... Vous devez noter que nous avons achevé récemment une étude extrêmement complète de la littérature scientifique concernant la sûreté de l'argent, en particulier sur le problème de l'argyrie, son unique effet secondaire potentiel. La quantité d'argent estimée pour déclencher l'argyrie est de 3,8 g par jour...

La plupart des cas d'argyrie rapportés dans la littérature médicale des cent dernières années concernaient une utilisation intraveineuse ou intramusculaire chronique de préparations qui la plupart du temps contenaient du nitrate d'argent. D'autres cas concernent l'application de préparations d'argent pendant de nombreux mois ou de nombreuses années pour le traitement de l'oeil ou du vagin. Nous n'avons pas trouvé un seul cas où l'absorption orale d'argent colloïdal fabriqué au cours des vingt-cinq dernières années aurait provoqué de l'argyrie...

Quant à l'efficacité des préparations à base d'argent, nous avons trouvé dans la littérature scientifique des soixante-quinze dernières années une quantité considérable de documents montrant qu'un grand nombre de composés d'argent peuvent être des agents germicides (antiseptiques) efficaces contre des centaines d'organismes pathogènes. Toutefois, l'argent n'est pas qualifié d'antibiotique... parce que, par définition, un antibiotique est obtenu à partir d'un organisme vivant.

Réaction de détoxication
Cette réaction est celle du système immunitaire face a la libération de toxines chimiques produites par les parois cellulaires des bactéries qui meurent sous l'effet d'un traitement efficace.

Elle se caractérise par divers symptômes : nausée, diarrhée, mal de gorge, mal de tête, etc. L'intensité de cette réaction est fonction des dosages utilises.
Elle diminue a mesure que le traitement progresse.

Les réactions de détoxication se produisent rarement chez les utilisateurs d'argent electro-colloïdal pur pris par voie orale. Si toutefois quelque réaction se produit, on peut réduire ou même arrêter provisoirement l'ingestion d'argent colloïdal pour laisser a l'organisme le temps d'éliminer les toxines. On peut d'ailleurs l'aider dans cette tache, par exemple en buvant abondamment.

Taille des particules :
Le principal critère de qualité et d'efficacité d'une solution d'argent colloïdal est la taille de ses particules.
Il y a une relation étroite entre la taille des particules et l'efficacité du produit.
Les particules colloïdales doivent être suffisamment fines pour ne pas s'agglutiner entre elles.
En effet, au-delà d'une certaine taille, elles sont attirées les unes vers les autres et cherchent a s'unir. Ce phénomène peut alors faire "boule de neige", jusqu'au moment ou l'argent précipite et se dépose au fond de la solution sous l'action de la pesanteur.

En d'autres termes, pour augmenter la capacité germicide d'une quantité d'argent donnée, il faut exposer a l'eau une surface de métal maximum. Ceci s'obtient en fragmentant l'argent en particules les plus fines possibles. Ainsi donc, un produit de haute qualité contiendra un maximum de particules de la taille la plus petite possible.

Concentration :
La quantité réelle d'argent dans une solution colloïdale se mesure en milligrammes par litre. Dans la pratique, on utilise le plus souvent une mesure équivalente : les parties par million (ppm). Ceci désigne le nombre de parties d'argent (en poids) pour chaque million de parties d'eau. Par exemple, 10 parties par million signifie 10 parties d'argent pour un million de parties d'eau (note 10 ppm), et équivaut a 10 mg/l.

Il semble qu'aucune affection ne nécessite de concentrations supérieures a 20 ppm.

La plupart des solutions commerciales ont une concentration de 5, 10 ou 20 ppm.

Comme on l'a explique précédemment, plus les particules sont petites, plus la solution est efficace, pour une quantité d'argent équivalente. Ingérer, par exemple un morceau d'argent métallique d'un milligramme n'aurait pas beaucoup d'effet. Par contre, si ce milligramme était divise en un million de particules d'argent, il serait beaucoup plus efficace parce que chaque particule d'argent s'attaque a un micro-organisme pathogène. Donc, a concentration égale, ce produit est un million de fois plus efficace que le précédent. C'est pourquoi il n'est pas nécessaire d'avoir de fortes concentrations si l'argent est divise en un nombre maximum de particules. En outre, plus la concentration des particules augmente, plus ces particules vont avoir tendance a s'agglomérer, et finalement a précipiter. Si bien qu'au-delà de 50 ppm, la solution nécessiterait un stabilisant qui en réduirait l'efficacité.

Autres critères de qualité :

Qualité de l'eau : l'argent colloïdal doit être prépare avec une eau de haute qualité (double ou triple distillation ou désionisation). En effet, si l'eau utilisée contient trop de solides dissous, les ions d'argent produits vont se combiner avec ces solides pour former des sels d'argent potentiellement toxiques. En outre, une telle eau possède une conductivité trop élevée qui engendre la formation de grosses particules. L'eau du robinet, l'eau minérale et même une eau filtrée par osmose inverse sont donc proscrites.

Qualité des électrodes : Les électrodes doivent elles aussi être d'un degré de pureté conseillé de 99.99 %,

Couleur : un indicateur simple, mais fondamental, la qualité d'une solution ionique d'argent colloïdal est la couleur qu'elle pressente.
En fait, il faudrait plutôt dire l'absence de couleur, puisque les meilleurs produits sont parfaitement incolores.
A mesure qu'augmente la concentration et/ou la taille des particules, on voit apparaître une certaine teinte : jaune pale, puis or, brun, rouge et noir.
Le brun, rouge et noir indiquent des produits de qualité inacceptable.

Stabilité, conservation : au bout d'un temps plus ou moins long, les particules d'argent finissent par perdre leur charge électrique et précipitent. Pour prolonger la durée de vie du produit, il est bon de le conserver dans des récipients en verre.
Le plastique réagit avec les particules porteuses d'une charge électrique qui finissent par précipiter. En outre, l'exposition a la lumière dégrade rapidement la solution. Des récipients en verre colore (brun ou bleu cobalt) permettent de minimiser ce phénomène.

Usage interne :
Il n'y a jamais eu le moindre cas recense de Toxicite en ce qui concerne les solutions actuelles d'argent colloïdal de qualité.

Il n'y a pas de dosages-types établis du fait des nombreuses variables en jeu :
concentration et qualité de la solution d'argent colloïdal, gravite de la maladie, réactions individuelles, etc.
Des études cliniques seraient nécessaires pour déterminer avec plus de précision les dosages efficaces en fonction des différentes affections et des différents produits disponibles.
Il ne faut pas oublier que l'argent est aussi (et d'abord) un minéral, plus précisément un oligoélément, et qu'il doit donc avoir son rôle a jouer dans l'organisme.
D'après le Dr Gary Smith, un mauvais fonctionnement du système immunitaire pourrait être lie a une carence en argent :
En analysant des échantillons de cheveux, j'ai constaté qu'il existait une corrélation entre de faibles niveaux d'argent et la maladie.
Les gens dont les cheveux contenaient de faibles niveaux d'argent étaient fréquemment malades. Ils étaient constamment victimes de rhumes, grippes, fièvres, etc. Je crois qu'une carence en argent pourrait être la cause première d'un mauvais fonctionnement du système immunitaire.

Ceux qui ont étudie le peuple Hounza2 ont conclu que leur troisième "secret", outre leur régime alimentaire et leur mode de vie, pourrait être l'eau glaciaire extrêmement minéralisée qu'ils consomment. Les minéraux sont ici sous forme colloïdale et comptent une importante quantité d'argent en suspension.

En 1940, R.A. Kehoe3 calcula que la dose d'argent absorbée naturellement avec la consommation de fruits et légumes était d'environ 50 a 100 mcg par jour, sous forme oligoéléments. La valeur moyenne de 75 mcg correspond a une cuillerée a café d'une solution d'argent colloïdal a 10 ppm. Une autre étude effectuée en 1966 ne trouve plus que 10 a 20 mcg par jour, ce qui doit correspondre a la déminéralisation générale des sols observée au fil des ans.

Selon le "Earth Summit Report" de 1992, les niveaux de minéraux dans le sol, en Amérique du Nord, ont diminue de 85 % par rapport a ceux qui existaient un siècle plus tôt.

Pour atteindre le niveau de l'époque préindustrielle, il peut sembler raisonnable de doubler la dose ci-dessus.

On peut donc avancer qu'une supplantation de deux a trois cuillerées a café par jour d'une solution d'argent colloïdal a 10 ppm représente une dose "nutritionnelle" et qu'au-delà de cette quantité (c'est-à-dire au-delà d'une cuillerée a soupe), on atteint un niveau thérapeutique.

Les fabricants qui suggèrent des doses demeurent en général dans les limites nutritionnelles ; voici quelques exemples :

Les êtres humains possèdent environ 100 000 milliards de cellules !

Comme l'argent colloïdal ionique contient plus de 100 000 milliards d'ions par cuillerée à soupe (à une concentration de 5 ppm), ceci représente une dose suffisante pour l'entretien. Par ailleurs, du fait que le foie élimine l'argent en l'espace d'environ deux heures, il faut en prendre toutes les heures ou toutes les deux heures pour maintenir une dose thérapeutique. Le dosage établi par l'EPA est de 14 cuillerées à café par jour (pour une concentration de 5 ppm) pendant toute la vie (70 ans) ; ainsi prendre une cuillerée par heure est à la fois sans danger et sage en cas d'infection.

Etant donne que l'organisme élimine rapidement une partie de l'argent colloïdal ingère, il convient, en cas d'affection aigue, de diviser la dose quotidienne totale en des prises fréquentes, toutes les heures ou même tous les quarts d'heures.

Comme avec les antibiotiques, il ne faut pas arrêter ce "régime" des la disparition des symptômes, car on s'exposerait alors a une rechute.

L'argent colloïdal n'interfère pas avec les traitements aromathérapiques ou homeopathiques. On ne trouve également aucun rapport d'interférence avec les médicaments (par exemple l'insuline pour les diabétiques).

Pour les animaux, le dosage est fonction de leur poids (et calcule proportionnellement a partir du dosage humain).

On peut mettre de l'argent colloïdal dans leur eau de boisson ou leur administrer la solution a l'aide d'un compte-gouttes.

Usage externe :

Bouche (abcès dentaires, maux de dents, gingivite, pyorrhée dentaire, etc.) : Faire circuler une cuillerée a café de solution sur la zone affectée pendant cinq minutes. Recracher le liquide.

Yeux (conjonctivite, kératite, ophtalmie, etc.) : Trois gouttes de solution (maximum 10 ppm) deux fois par jour. Attention ! Le pH de la solution ne doit pas être inférieur a 6,5 sinon celle-ci serait trop acide et piquerait les yeux.

O.R.L. (otite, infection de la gorge, catarrhe, sinusite...) :  En gargarismes.

En inhalation : a l'aide d'un nébuliseur vaporiser un fin brouillard pour les affections nasales, les affections de la gorge et des poumons, deux a trois fois par jour.

En gouttes : trois gouttes de solution (3 a 10 ppm) dans chaque narine, deux a trois fois par jour.

Pour l'oreille, remplir le canal a l'aide d'un compte-gouttes, une ou deux fois par jour pendant deux ou trois jours.

Peau (acné, brûlures, coups de soleil, coupures, eczéma, engelures, furoncles,hémorroïdes, herpès/zona, mycoses, piqûres d'insectes, prurit, psoriasis, verrues...) :

Appliquer deux a trois fois par jour liquide, lotion ou pommade. Vaporiser la zone affectée. A noter que le contact avec la peau doit être d'au moins 6 minutes pour laisser au produit le temps d'agir.

Lavements et douches vaginales : Une demi a deux cuillerées a soupe de solution a 10 ppm par demi-litre d'eau.


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Vos remarque sur ce texte (pris sur un chouette site - faites vos recherches...
lennyokk@gmail.com

Sinon, A voir et avoir absolument ;-)    http://www.eau-papillon.be/


1 commentaire:

  1. Voici un complément d'information concernant l'argent colloidal et sa capacité à être un antibiotique naturel de qualité:
    http://www.institut-katharos.com/#!alternative-naturelle-aux-antibiotiques/c1p3g

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