samedi 31 janvier 2015

Maladies à vendre (les inventeurs de maladies) : édifiant !!

Moi je suis décidé à diminuer puis arrêter cette **** de Zolpidem (somni.)
(Mes idées noires prennent trop de place; cela m'effraie)
Cette vidéo m'aide à y voir plus clair ...
A voir et revoir et rerevoirrrr

Et un très bon docu de FR2 en bonus...


Vous voulez mon avis? Lorsqu'on SAIT, on tourne le dos à ces menteurs et on agit vers la santé, avec du bon sens et de l'abnégation (sinon la Vie ne nous ratera pas - puisqu'on savait).
Allez, partagez ces vidéos !! Ensemble, nous sommes simplement trop forts...

Lenny from le Royaume de Belgique

jeudi 29 janvier 2015

Toxicomanie - un autre regard ...

La cause probable de la toxicomanie a été découverte et ce n’est pas ce que vous pensez

 Vu sur le site de Michael Roads. Merci pour cette touche humaniste dans une société qui en a plus que besoin ...
(Merci à la traductrice !!)

Traduction de l’article que Michael a mis en lien dans sa songerie du 27 janvier 2015 (remis à la fin de l’article, pour mémoire ou référence)

La cause probable de la toxicomanie a été découverte et ce n’est pas ce que vous pensez
La nouvelle preuve nous obligera à changer nous-mêmes.
Par Johann Hari / The Huffington Post 21 Janvier, 2015

Cela fait maintenant 100 ans que les drogues ont d’abord été interdites et tout au long de ce long siècle de guerre contre la drogue, nos professeurs et nos gouvernements nous ont raconté des histoires sur la dépendance. Ces histoires sont si profondément ancrées dans nos esprits que nous les prenons pour acquises. Elles semblent évidentes. Elles semblent manifestement vraies. Jusqu’à ce que je parte il y a trois ans et demi faire un voyage de 48 000 kms pour mon livre “Chasing The Scream: Le premier et le dernier jour de la guerre contre la drogue” pour comprendre ce qui est vraiment le moteur de la guerre de la drogue, j’y croyais aussi. Mais ce que j’ai appris sur la route, c’est que presque tout ce qu’on nous avait dit à propos de la dépendance est faux. Il y a une histoire très différente qui nous attend, si seulement nous sommes prêts à l’entendre.

Si nous absorbons vraiment cette nouvelle histoire, nous devrons changer beaucoup plus que la guerre contre la drogue. Nous aurons à nous changer nous-mêmes.

Je l’ai appris d’une variété extraordinaire de gens que j’ai rencontrés lors de mes voyages. Des amis encore en vie de Billie Holiday, qui m’ont aidé à apprendre comment le fondateur de la guerre contre la drogue l’a harcelée et a contribué à la tuer. D’un médecin juif qui a été sorti clandestinement du ghetto de Budapest quand il était bébé, pour découvrir les secrets de la toxicomanie une fois adulte. D’un dealer de crack transsexuel à Brooklyn qui a été conçu quand sa mère, une accro au crack, a été violée par son père, un officier de la Police de New-York. D’un homme qui a été maintenu au fond d’un puits pendant deux ans par la torture d’une dictature et qui en est ressorti pour être élu président de l’Uruguay et pour entamer les derniers jours de la guerre contre la drogue.

J’avais une raison personnelle pour rechercher ces réponses. Un de mes premiers souvenirs d’enfant est d’essayer de réveiller un de mes parents et de ne pas y arriver. Depuis lors, j’ai tourné le mystère essentiel de la dépendance dans mon esprit. Qu’est-ce qui pousse certaines personnes à devenir accro à une drogue ou à un comportement jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus arrêter ? Comment pouvons-nous aider les gens à revenir à nous ? En grandissant, un autre de mes proches parents a développé une dépendance à la cocaïne, et j’ai eu une relation avec un héroïnomane. Je suppose que la dépendance m’était très familière.

Si vous m’aviez demandé ce qui provoque la toxicomanie au début, j’aurais dit : “Les drogues. M’enfin !” Ce n’est pas difficile à saisir. J’ai pensé que je l’avais vu dans ma propre vie. Nous pouvons tous l’expliquer. Imaginez que vous et moi et les 20 prochaines personnes qui passent à côté de nous dans la rue prenions une drogue très puissante pendant 20 jours. Il y a de forts hameçons chimiques dans ces drogues, donc si nous nous arrêtions le 21ème jour, nos corps auraient besoin de la chimie. Nous aurions une envie féroce. Nous serions dépendants. C’est ce que signifie la dépendance.

Une des façons dont cette théorie a été établie est grâce à des expériences sur des rats racontées aux américains dans les années 1980, dans une célèbre publicité par le Partenariat pour une Amérique Sans Drogue. Vous pouvez vous en souvenir. L’expérience est simple. Mettez un rat dans une cage, seul, avec deux bouteilles d’eau. L’une contient de l’eau. L’autre contient de l’eau additionnée d’héroïne ou de cocaïne. Presque chaque fois que vous faites cette expérience, le rat devient obsédé par l’eau droguée, et continue à y revenir, jusqu’à ce qu’il se tue.

La publicité explique : “Une seule drogue est tellement addictive que 9 des 10 rats de laboratoire vont l’utiliser. Et l’utiliser. Et l’utiliser. Jusqu’à la mort. C’est la cocaïne. Et elle peut faire la même chose de vous…”

Mais dans les années 1970, le professeur de psychologie de Vancouver, Bruce Alexander, a remarqué quelque chose d’étrange à propos de cette expérience. Le rat est placé dans la cage tout seul. Il n’a rien à faire, sauf prendre les drogues. Que se passerait-il, se demanda-t-il, si nous essayions les choses différemment? Donc Alexander a construit Rat Park, une cage luxuriante où les rats avaient des balles colorées et la meilleure nourriture pour rats et des tunnels pour gambader et beaucoup d’amis : tout ce qu’un rat pourrait vouloir. Alexander voulait savoir, que se passerait-il alors?

Dans Rat Park, tous les rats ont, de toute évidence, essayé les deux bouteilles d’eau, parce qu’ils ne savaient pas ce qu’il y avait dedans. Mais ce qui s’est passé ensuite était saisissant.

Les rats qui avaient la belle vie n’aimaient pas l’eau droguée. Ils l’ont évitée, en en consommant moins d’un quart de ce que les rats isolés avaient utilisé. Aucun d’entre eux n’est mort. Alors que tous les rats qui étaient seuls et malheureux sont devenus de gros utilisateurs, aucun des rats qui avaient un environnement heureux ne l’est devenu.

Au début, je pensais que c’était simplement un caprice de rat, jusqu’à ce que je découvre qu’en même temps que l’expérience Rat Park se déroulait, il y avait un équivalent humain en cours. Ca s’appelait la guerre du Vietnam. Le magazine Time a rapporté que l’héroïne était “aussi commune que le chewing-gum” parmi les soldats américains et il y a des preuves solides pour étayer cette thèse : environ 20 pour cent des soldats américains sont devenus accro à l’héroïne là-bas, selon une étude publiée dans les Archives of General Psychiatry. Beaucoup de gens ont été terrifiés et c’est compréhensible : ils croyaient qu’un grand nombre de toxicomanes étaient sur le point de rentrer à la maison quand la guerre prendrait fin.

Mais en fait, quelque 95 pour cent des soldats dépendants, selon la même étude, ont tout simplement cessé d’en utiliser. Très peu ont fait une cure de désintoxication. Ils étaient passés d’une cage terrifiant à une cage agréable, de sorte qu’ils ne voulaient plus de drogue.

Bruce Alexander soutient que cette découverte est un profond défi à la fois à la vision de droite selon laquelle la toxicomanie est un échec moral causé par un comportement de fêtard hédoniste, et à la vision libérale selon laquelle la toxicomanie est une maladie installée dans un cerveau chimiquement confisqué. En fait, soutient-il, la dépendance est une adaptation. Ce n’est pas vous. C’est votre cage.


Après la première phase du Rat Park, Alexander a poussé l’expérience plus loin. Il a répété les premières expériences, où les rats ont été laissés seuls et sont devenus des utilisateurs compulsifs de drogue. Il les a laissés l’utiliser pendant 57 jours : si quelque chose peut vous accrocher, c‘est bien cela. Puis il les a fait sortir de l’isolement et les a placés dans Rat Park. Il voulait savoir si une fois tombé dans cet état de dépendance, votre cerveau est détourné de sorte que vous ne puissiez pas récupérer ? Est-ce que les drogues prennent le relais ? Ce qui est arrivé est frappant. Les rats semblaient avoir quelques accès de régression, mais ils ont vite cessé leur utilisation intensive et sont retournés à une vie normale. La bonne cage les a sauvés. (Les références complètes pour toutes les études dont je parle sont dans mon livre.)

Cette nouvelle théorie est une attaque tellement radicale de ce qu’on nous avait dit que c’était comme si elle ne pouvait pas être vraie. Mais plus j’ai interviewé de scientifiques, et plus j’ai regardé leurs études, plus j’ai découvert de choses qui ne semblent pas avoir de sens, sauf si vous preniez en compte cette nouvelle approche.

Voici l’exemple d’une expérience qui se passe tout autour de vous et qui pourrait bien vous arriver un jour. Si vous vous faites renverser aujourd’hui et que vous vous cassez la hanche, on vous donnera probablement de la diamorphine, le nom médical de l’héroïne. Dans l’hôpital autour de vous, il y aura beaucoup de personnes à qui on aura donné de l’héroïne pendant de longues périodes, pour soulager la douleur. L’héroïne que vous obtenez de votre médecin aura une pureté beaucoup plus élevée que celle utilisée par les toxicomanes de la rue, qui doivent l’acheter à des trafiquants. Donc, si la vieille théorie de la dépendance est correcte – ce sont les drogues qui font que votre corps en a besoin – ce qui devrait arriver est évident. Des tas de gens devraient quitter l’hôpital et essayer de trouver de l’héro dans la rue, pour satisfaire leurs habitudes.

Mais voici la chose étrange. Cela n’arrive pratiquement jamais. Comme le médecin canadien Gabor Maté a été le premier à me l’expliquer, les utilisateurs pour raisons médicales s’arrêtent, malgré des mois d’utilisation. La même drogue, utilisée pendant la même durée, transforme les utilisateurs de la rue en toxicomanes désespérés et laisse les patients médicaux non affectés.

Si vous croyez encore, comme je le faisais, que la dépendance est causée par des hameçons chimiques, cela n’a aucun sens. Mais si vous croyez la théorie de Bruce Alexander, l’image se met en place. Le toxicomane de la rue est comme un rat dans la première cage: isolé et seul, avec une seule source de consolation vers laquelle se tourner. Le patient médical est comme un rat dans la deuxième cage : il rentre à la maison, à une vie où il est entouré par les gens qu’il aime. La drogue est la même, mais l’environnement est différent.

Cela nous donne un aperçu qui va beaucoup plus loin que la nécessité de comprendre les toxicomanes. Le Professeur Peter Cohen soutient que les êtres humains ont un profond besoin de tisser des liens et des connexions. Si nous ne pouvons pas communiquer avec les autres, nous rencontrerons tout ce que nous pouvons trouver – le bruit de la roulette au casino ou la piqûre d’une seringue. Il dit que nous devrions complètement cesser de parler de «dépendance» mais de parler de «tissage de liens». Un héroïnomane a tissé des liens avec l’héroïne parce qu’il ne pouvait pas tisser de liens aussi pleinement avec autre chose.

Donc, le contraire de la dépendance n’est pas la sobriété. C’est le lien humain.

Je ne pouvais toujours pas m’ôter d’un doute persistant. Est-ce que ces scientifiques disent que les hameçons chimiques ne font aucune différence ? On m’a expliqué : vous pouvez devenir accro aux jeux d’argent, et personne ne pense que vous vous injectez un paquet de cartes dans les veines. Vous pouvez avoir toute la dépendance et aucun des hameçons chimiques. Je suis allée à une réunion des Gamblers Anonymous à Las Vegas et ils étaient aussi clairement accros que les toxicomanes à la cocaïne et à l’héroïne que j’ai connus. Pourtant, il n’y a pas de hameçons chimiques sur une table de craps.

Mais sûrement, ai-je demandé, il y a un rôle dans les produits chimiques ? Il s’avère qu’il y a une expérience qui nous donne la réponse à cela en termes précis, que j’ai trouvée dans le livre de Richard DeGrandpre, The Cult of Pharmacology.

Tout le monde convient que le tabagisme est l’un des processus les plus addictifs qu’il y ait. Les hameçons chimiques dans le tabac proviennent de la drogue nommée nicotine. Alors, quand les patchs de nicotine ont été développés dans les années 1990, il y a au une énorme vague d’optimisme – les fumeurs de cigarettes pourraient obtenir tous leurs hameçons chimiques, sans les autres effets sales et mortels, de la cigarette. Ils seraient libérés.


Mais l’Office of Surgeon General a constaté que seulement 17,7 pour cent des fumeurs de cigarettes arrivent à cesser de fumer en utilisant les patchs de nicotine. Ce n’est pas rien. Si les produits chimiques font 17,7 pour cent de la dépendance, comme cela le montre, c’est toujours des millions de vies ruinées dans le monde. Mais ce que ça révèle à nouveau, c‘est que les histoires que nous avons apprises sur la cause de toxicomanie comme étant des hameçons chimiques sont réelles, mais ce n’est qu’une toute petite partie d’une image beaucoup plus grande.

Cela a des implications énormes pour les 100 ans de guerre contre la drogue. Cette guerre massive, qui tue les gens des places du Mexique jusque dans les rues de Liverpool, est fondée sur l’affirmation selon laquelle nous avons besoin d’éradiquer physiquement tout un éventail de produits chimiques, car ils détournent le cerveau des gens et causent une dépendance. Mais si les drogues ne sont pas le moteur de la toxicomanie – si, en fait, c’est le manque de lien qui conduit à la toxicomanie – alors cela n’a aucun sens.

Ironiquement, la guerre contre la drogue augmente en fait tous ces grands moteurs de la dépendance. J’ai visité une prison en Arizona, Tent City, où les détenus sont enfermés dans de minuscules cages d’isolement en pierre (le trou) pendant des semaines, pour les punir de s’être drogués. C’est aussi proche que possible de la reproduction humaine des cages qui garantissaient une dépendance mortelle chez les rats. Lorsque ces prisonniers sortent de prison, ils seront inemployables en raison de leur casier judiciaire, garantissant qu’ils seront coupés encore davantage.

Il existe une alternative. Nous pouvons construire un système qui est conçu pour aider les toxicomanes à renouer avec le monde et à laisser derrière eux leurs dépendances.

Ce n’est pas théorique. Ca se passe vraiment. Il y a près de 15 ans, le Portugal avait l’un des pires problèmes de drogue de l’Europe. Ils avaient essayé d’entrer en guerre contre la drogue et le problème n’a fait que continuer à s’aggraver. Ils ont donc décidé de faire quelque chose de radicalement différent. Ils ont décidé de dépénaliser toutes les drogues et de prendre tout l’argent consacré auparavant à arrêter et à emprisonner les toxicomanes et de le dépenser à la place à les reconnecter – avec leurs propres sentiments et avec la société en général. L’étape la plus cruciale était de leur obtenir un logement sûr et des emplois subventionnés, donc ils avaient un but dans la vie et quelque chose pour les faire sortir du lit. Dans des cliniques chaleureuses et accueillantes, les toxicomanes apprenaient à renouer avec leurs sentiments, après des années de traumatisme. Un groupe de toxicomanes a reçu un prêt pour créer une entreprise de déménagement. Soudain, ils étaient un groupe, tous liés les uns aux autres et à la société et responsables de prendre soin les uns des autres.

Une étude indépendante menée par le British Journal of Criminology a constaté qu’après la décriminalisation totale, la dépendance a diminué, et l’utilisation de drogue en intraveineuse a baissé de 50 pour cent. La décriminalisation a été un tel succès que très peu de gens au Portugal veulent retourner à l’ancien système. Le militant principal contre la décriminalisation en 2000 était Joao Figueira, le premier flic du pays chargé de la drogue. Il a donné à tous des avertissements terribles sur ce à quoi il fallait s’attendre, dans le Daily Mail ou Fox News. Mais quand nous nous sommes assis ensemble à Lisbonne, il m’a dit que tout ce qu’il avait prédit ne s’était pas produit – et il espère maintenant que le monde entier suivra l’exemple du Portugal.

Ce n’est pas seulement pertinent pour les toxicomanes que j’aime. C’est pertinent pour nous tous, car ça nous oblige à penser différemment à notre propre sujet. Les êtres humains sont des animaux de relation. Nous avons besoin d’être en lien et d’aimer. La phrase la plus sage du 20e siècle était celle de EM Forster, «Seulement être en lien.” Mais nous avons créé un environnement et une culture qui nous coupent du lien. La hausse de la dépendance est un symptôme d’une maladie plus profonde de la façon dont nous vivons, dirigeant constamment notre regard vers le prochain objet qui brille et que nous devrions acheter, plutôt que vers les êtres humains tout autour de nous.

L’écrivain George Monbiot a appelé cela l’ «âge de la solitude.” Nous avons créé des sociétés humaines où il est plus facile pour les gens d’être coupé de tout lien humain. L’Internet n’offre qu’une parodie de connexion. Bruce Alexander, le créateur du Rat Park, m’a dit que pendant trop longtemps, nous n’avons parlé que de la récupération individuelle de la dépendance. Nous devons maintenant parler d’une récupération sociale ; comment nous récupérons tous, ensemble, de la maladie de l’isolement.

Mais cette nouvelle preuve n’est pas seulement un défi pour nous en termes de politique. Elle ne nous oblige pas seulement à changer nos esprits, elle nous oblige à changer nos cœurs.

Aimer un toxicomane est vraiment difficile. Quand j’ai regardé les toxicomanes que j’aime, il a toujours été tendant de suivre les conseils d’amour dur, distillés par les émissions de télé-réalité, comme “l’Intervention”: dire au toxicomane de se secouer ou le laisser tomber. Leur message est qu’un toxicomane qui n’arrête pas sa consommation doit être évité. C’est la logique de la guerre contre la drogue, importée dans nos vies privées. Mais cela ne fera que renforcer leur dépendance et vous risquez de les perdre complètement. Je suis rentré déterminé à créer plus de lien avec les toxicomanes dans ma vie, à leur faire savoir que je les aime inconditionnellement, qu’ils s’arrêtent, ou qu’ils n’y arrivent pas.


Quand je suis rentré de mon long voyage, j’ai regardé mon ex-petit ami, enfermé, tremblant sur mon lit d’appoint, et j’ai pensé à lui autrement. Depuis un siècle maintenant, nous chantons des chansons de guerre sur les toxicomanes. Il m’est apparu que nous aurions dû leur chanter des chansons d’amour tout du long.

Johann Hari discutera de son livre à Politics and Prose à Washington DC, à 19 heures, le 29 Janvier; au 92nd Street Y à New York, à midi, le 30 Janvier; et au Red Emma à Baltimore, le 4 Février.

dimanche 25 janvier 2015

2013-2015 are the Years of the Heart, Message by D. Mitel

En anglais, mais pensées si élevées. Reste plus qu'à ...

Merci Lilou, mais tu es partout?  Très inspirant ...

Lenny from le Royaume de Belgique

vendredi 16 janvier 2015

dimanche 11 janvier 2015

LA GUERRE DES GRAINES


Cela glace le sang de voir à quel point on est ... si peu de choses aux yeux de certains (...) !
Lenny

mercredi 7 janvier 2015

LA COMMUNICATION CELLULAIRE - Kryeon

A lire, avec votre libre-arbitre - comme d'habitude ...

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LA COMMUNICATION CELLULAIRE


Kryeon,

Salutations, chers Êtres Humains, je suis Kryeon du Service Magnétique.

Je répète que sais où je suis, et que j'honore ce qui est ici. Le nom de cet endroit est un temple de sagesse. Donc, ce que nous souhaitons faire, au cours de ce bref instant du temps, c'est de vous apporter des sagesses ou connaissances que vous avez demandées. Chaque Âme individuelle et ancienne, dans cette nouvelle énergie, commence à demander des informations ou connaissances qui créeront de la sagesse. Nous allons parler de la communication cellulaire entre "vous" et votre corps physique. Non pas entre votre corps physique vers "vous". Ceci sera le sujet d'un de nos messages futurs. Il y a deux sortes de communications qui ne sont pas à sens unique. Nous allons parler de vous et de votre corps physique.

Préambule

Avant de commencer, chers Être Humains, il est nécessaire de faire une révision des blocages ou obstacles qui sont sur votre chemin, afin que vous puissiez mieux comprendre ce que nous allons dire. 

Vous avez seulement une réalité, celle d'un monde linéaire. Ceci inclut mon partenaire. Vous faites l'expérience des choses d'une certaine manière en tant qu'individus et aussi en tant qu'humanité. Toutes vos pensées, paroles et actions vont dans le sens de cette réalité. Vous projetez - naturellement - toutes ces choses autour de vous. Cela n'enlève rien à votre intelligence. Peu importe qu'il s'agisse de dieu ou de la simple perception de votre réalité dans un état multidimensionnel, vous appliquez ou comparez ces choses à ce que vous connaissez. C'est une polarisation. Une partie de l'humanité pense qu'elle doit répéter maintes et maintes fois une certaine formulation, pour ensuite l'appliquer à toutes choses, incluant vos relations avec les autres Êtres Humains. Nous avons déjà dit que, quelques-unes de vos religions organisées ont porté ceci à un maximum absolu. Elles ont fini par avoir un dieu dysfonctionnel, qui peut être en colère et juger, etc.

Avant d'entrer dans le vif du sujet, nous vous suggérons de laisser tomber ces choses. Nous allons peut-être entrer dans quelques-unes de vos traditions, afin de les équilibrer, de faire une mise à jour. Ce préambule a pour but de vous dire que vous "pouvez parler à votre structure cellulaire". C'est magnifique, n'est-ce pas ? Depuis bien des années, nous disons que vous pouvez laisser tomber ces polarisations humaines, et que ce n'est pas une tâche difficile.


Le but principal de notre message


Définissons, autant que faire se peut, la conscience humaine. Veuillez noter que ce ne sera pas la définition de celle de vos académies. Nous parlons de la définition que nous voyons. Selon notre point de vue, la conscience humaine est composée de plusieurs parties. Cependant, nous allons parler de seulement deux parties.

La première est, cette soupe de réactions ou ce comportement qui provient de deux parties de votre corps humain. La première de ces deux parties se rapporte aux synapses du cerveau. L'entrepôt des expériences. La deuxième se rapporte à la partie multidimensionnelle. Celle qui selon vous, se rapporte à la créativité, à l'intuition et à dieu. C'est un mélange de ces deux choses, qui provient de votre libre choix. Lorsqu'un Être Humain a équilibré ces deux parties, les autres ont l'impression qu'il est en contrôle de sa propre vie et qu'il s'estime, qu'il est satisfait de lui-même. Si l'une ou l'autre est en état de déséquilibre, il y a une dysfonction.

Lorsqu'un Être Humain fonctionne seulement selon la première partie, qu'il se voit seulement comme une masse de chair de sang et d'os qui pense, ceci est une dysfonction, selon notre vérité. D'un autre côté, vous avez ce que nous pourrions appeler les "nouveaux-âgistes ou girouettes" [NDIT - Dans le sens qu'ils changent souvent d'opinion]. Ils sont emballés dans l'ésotérisme, à un point où ils ne tiennent plus compte de la vie de leur corps physique. Donc, le cerveau synaptique n'a plus aucune possibilité. Le bon sens commun et humain a été éloigné, évincé. Tout ce qui reste, est ce que nous appellerions "Essayons d'y croire et rêvons en couleur". Vous avez certainement vu ces situations [NDIT - Quelle est la différence un Être Humain orthodoxe et un fanatique ?].

Vous savez quoi ? D'un côté comme de l'autre, ces deux situations sont acceptables. Voyez-vous que nous cherchons à expliquer que les deux côtés de cette médaille ont chacun raison, mais que l'un ne va pas sans l'autre. Si non, il y a déséquilibre, dysfonctionnement. Où en êtes-vous rendus ? Voilà pourquoi nous expliquons autant de choses, avant d'entrer dans le vif du sujet.

Si vous êtes en train d'écouter ou lire ce message, il est fort probable que vous ayez déjà pris conscience de votre divinité intérieure. Celle-ci semble insaisissable ou mystérieuse. Pourtant, elle est aussi réelle que les synapses du cerveau. Ces deux choses sont reliées et essentielles à la capacité de parler à votre corps physique. Si vous êtes un intellectuel et que vous associez tout ceci aux neurones et synapses de votre cerveau, je vous suggère d'arrêter tout de suite, de laisser tomber cette discussion et passer aux autres choses qui vous intéressent. La suite de notre message ne vous apportera rien.

N'est-il pas intéressant de constater que la divinité intérieure et le cerveau soient si intimement liés ? Vous devez être conscients de votre divinité intérieure, puisqu'elle est la base, le point de départ. Elle va commencer à parler à ce que nous appelons, votre "innéité" [NDIT - Caractère de ce qui est inné]. Il y a plusieurs années, nous avons dit qu'un jour viendra où la santé physique des individus pourra très bien être mesurée d'une manière très différente de celle qui est utilisée actuellement, où les Êtres Humains ayant une conscience plus éveillée, sembleront vivre plus longtemps et où il n'y aura aucun examen médical, selon la normale actuelle, qui pourra l'expliquer.

Voici pourquoi il en sera ainsi. Nous avons déjà dit que la conscience pourra très bien conduire - éventuellement - l'attribut de l'équilibre des cellules et de la chimie de vos corps physique. Voyez-vous pourquoi la conscience sociale actuelle, qui dit que vous devez faire de l'exercice et suivre une diète physique, devra s'asseoir sur la banquette, au lieu de tenir la roue de conduite de vos précieuses consciences ?

Vous voyez que les choses changent, n'est-ce pas ? Les attributs qui maintiennent la vie dans vos corps physiques vont commencer à changer. En passant, une plus grande prise de conscience des trois attributs dimensionnels et nécessaires à vos corps physiques, vous apportera une meilleure santé, mais il faut plus, pour être en mesure de parler à votre structure cellulaire. Donc, si vous êtes encore à bord, pour ainsi dire, et que vous pouvez honnêtement dire : « J'ai vraiment l'impression d'avoir une divinité intérieure, un esprit divin », alors, nous pouvons continuer.

Nous poursuivons notre message en prenant pour acquis que vous êtes encore à bord. Les Êtres Humains ayant une mentalité spirituelle et équilibrée, sont souvent arrivés à ce point, et ils sont prêts à faire ce pas en avant. La plupart a déjà fait un pas en avant, mais, pour diverses raisons "humaines", cela n'a pas porté fruit. Pourquoi parler à votre structure cellulaire ? Cela devrait être évident. Dans quel paradigme avez-vous vécu, historiquement ? Tout provenait de votre "tête", de votre "cerveau". Les plus grands peintres, compositeurs, musiciens, physiciens, inventeurs, etc., etc., ne se sont pas servis que de leur tête ou cerveau, en présumant que tout le reste du corps physique n'était rien d'autre qu'un support pour la tête et le cerveau.

Parfois, la tête et le cerveau regardaient "le reste du corps physique" et disaient : « Nous espérons que cette chose fonctionnera ! » C'est traditionnel, et c'est même amplifié par votre entourage qui contracte toutes sortes de maladies. Ensuite, la peur s'installe, et elle peut créer de l'hypocondrie [NDIT - Dans le sens de ; état d'anxiété permanente, pathologique, concernant la santé, l'état et le fonctionnement de ses organes]. Si c'est le cas, il est fort probable que ces peurs se réalisent, puisque vous êtes sur une planète de libre choix, conscient, inconscient ou subconscient. C'est le reste du corps humain qui essaie d'être en conformité avec ce que pensent la tête et le cerveau. Je vais vous mettre en appétit, en vous donnant un indice de la suite de notre message. Selon la pensée traditionnelle, vous n'avez aucun contrôle, dans ce domaine.

Cependant, vous n'êtes plus immergés dans cette pensée traditionnelle. Donc, vous êtes prêts à avancer. Auparavant, le nouvel âge était plein de processus qui, en gros, demandaient de faire bien des choses, maintes et maintes fois, afin de "plaire à vos cellules" et être en mesure de leur parler, sans être assuré que cela allait fonctionner. C'était une polarisation humaine. Il est temps de démystifier ce processus qui n'est plus approprié, car il porte à croire que le corps physique est stupide, qu'il ignore complètement Qui et Ce que vous êtes.


Vos cellules sont toujours à l'écoute


Voici une vérité qui ne prendra pas une éternité, avant d'être découverte par votre science. Les cellules de votre corps physique et - particulièrement - ce qui est appelé "innéité" ont toutes une chose en commun. Voici le titre que nous allons attribuer à ces deux choses : « Vos cellules sont toujours à l'écoute ! » Cela fait "naturellement" partie de tout ce que vous êtes. Votre divinité intérieure habite en chacune de vos cellules. Vos cellules sont en quelque sorte, une création de votre ADN. Si vous utilisez votre discernement, pensez-vous qu'il est possible que "vos cellules soient toujours à l'écoute" ? Si oui, nous vous suggérons de toujours leur parler avec une intention pure [NDIT - Selon moi, "intention pure" signifie ; qui provient de notre coeur, au lieu de notre mental]. 

Parlons de cette communication. C'est comme si... Chaque cellule avait un téléphone et qu'elle attendait que vous l'appeliez. Si vous pouviez signaler le numéro, vous pourriez parler à chacune d'elles en même temps ! Chacune répondrait à votre appel téléphonique, puisqu'elles sont "vous". Tout ceci est naturellement inclus dans votre innéité. Vos cellules ne répondront pas à votre linéarité, puisque ce sont des communications multidimensionnelles. N'oubliez pas que votre conscience humaine est linéaire. Cette communication se rapporte au champ de votre ADN, de votre Merkabah. Si je vous dis que votre "innéité" est le langage de votre âme, me croirez-vous ? La Merkabah vous dira si vous jouez un rôle ou si vous agissez en tant que divinité en incarnation. Avec votre Merkabah, vous pourrez littéralement regarder votre âme. Qu'est-ce que l'intention pure ?

Voici un exemple. Lorsque vous tombez en amour avec un Être Humain [NDIT - Pourquoi ne pas "s'élever en amour" ?] et que vous le regardez dans les yeux, deux amoureux, il n'y a pas vraiment de mots qui peuvent bien définir ce sentiment profond. Ces regards d'amour pur pourraient-ils ressembler à l'amour de Dieu ? En réalité, c'est ce que vous ressentez, même si vous n'en êtes pas "mentalement conscients". Votre intuition ou intention pure le sait. Votre cerveau est réellement frustré. Il dit : « Tu dois mieux te nourrir ! » Vous répondez : « Oui, mais je suis en amour ! » Il répond : « Tu dois agir d'une manière plus sensée. » Vous répondez : « Oui, mais je suis en amour ! » Il répond : « Pourquoi places-tu tes souliers dans le réfrigérateur ? Vous répondez : « Parce que je suis en amour. J'ai oublié ! »

Lorsque vous êtes en amour avec qui ou quoi que ce soit, c'est de l'intention pure. Il n'y a rien qui puisse se comparer à ceci. Maintenant, permettez-moi de vous dire que votre divinité intérieure est en amour avec vous. Elle attend le moment où elle pourra vous le dire, le moment où vous serez vraiment à l'écoute. Pouvez-vous être en amour avec votre corps physique, avec toutes ses cellules et son ADN ? Pouvez-vous ressentir qu'il est une création divine, une création de votre divinité intérieure ? Un amour véritable se doit d'être partagé de part et d'autre. Sans cette prise de conscience et ce dialogue muet, cet amour inconditionnel ne pourra pas fleurir. 

Voici encore un exemple. Il y a quelques années, vous avez vu des gourous [maître spirituel hindou (Larousse)] qui pouvaient ralentir leur rythme cardiaque et entrer en état d'apnée [apnée nom féminin (du grec pnein, respirer). Suspension, volontaire ou non, de la respiration. Plongée en apnée, en retenant sa respiration, sans bouteille (Larousse)]. Ils pouvaient contrôler certaines choses, dans leur corps physique, même si tout le monde pensait que c'était impossible. Ils parlaient à des parties de leur corps qui étaient à l'écoute et qui s'ajustaient. Ils savaient comment faire. Maintenant, vous le savez aussi. Regardons la suite. Nous avons parlé de seulement deux prémices ou premières manifestations. Il y en a qui vont les interpréter d'une manière "nouvel-âgiste", en disant que vous devez faire ceci et cela. Ils vont appliquer un attribut humain et linéaire, à un magnifique système multidimensionnel qui est au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. C'est ce qui est appelé "votre innéité". Tout ceci ne répond pas aux répétitions à haute voix et autres choses du même genre. Il faut l'intention pure. 

Parlons un peu de l'innéité. Êtes-vous prêts à parler à un système auquel vous n'avez jamais parlé auparavant ? Oui, car votre innéité a toujours été là. Disons plutôt que, avec les nouvelles énergies, vous êtes mieux outillés ou équipés pour parler à vos cellules et à votre ADN. Voilà pourquoi vous êtes en train de prendre conscience de notre message, et nous demandons que vous utilisiez votre discernement intuitif et inné, sans nous croire sur parole. Selon notre vérité, nous ne parlerions pas de quelque chose que vous ne pouvez pas faire.

Vous pouvez parler à vos cellules, en pensée, parole ou action, et elles vont agir. Regardons la linéarité. Regardons votre meilleure amie ou meilleur ami. Peu importe que cette personne soit votre partenaire de vie ou autre. Nous parlons d'un Être Humain avec qui vous pouvez librement parler le langage de l'âme à nue, en toute confiance. Si vous êtes dans la linéarité, cette conversation ne pourra pas se réaliser, même si vous le souhaitez. Maintenant, imaginons que devez répéter sans cesse cette conversation réciproque d'âme à nue, afin que vos cellules comprennent. Est-ce que cela vous semble sensé ? Si vos cellules sont à l'écoute et qu'elles sont une création divine, au lieu d'être stupides, pourquoi devriez-vous répéter sans cesse ? Si vous en êtes là et qu'elles ont toujours été là, en attente, pourquoi répéter ou seriner ? Vos cellules ont été à l'écoute depuis votre naissance, attendant le moment où vous prendrez conscience que vous pouvez leur parler.

Comment allez-vous procéder ? Premièrement, vous devez savoir qu'elles connaissent votre langage. Elles font partie de vous. Vous pouvez leur parler de toutes les manières que vous voulez. Peu importe que ce soit à voix haute ou basse, en pensée ou en écriture, puisque vous avez leur numéro de téléphone. La clé est que, vous devez aimer suffisamment votre structure cellulaire pour lui dire, avec une intention pure : « Je t’aime ! » Elle saura que c'est vrai. Est-ce compliqué ou difficile à faire ? Si vous prenez le temps de vous asseoir pour un moment et que vous leur parlez, toutes les parties de votre corps physique sauront ce qui se passe. Il se peut que vous ressentiez des picotements ou frissons agréables, au début de ce processus. Ce sera une sorte de validation, de la part des cellules de votre corps qui célèbrent votre premier appel téléphonique. Si vous ne le ressentez pas, la communication s'établira quand même, en supposant que vous avez signalé le bon numéro de téléphone.

L'innéité, la sagesse et la perspicacité de votre corps physique feront la fiesta. Vos cellules diront : « Avez-vous entendu cela ? Enfin, "mieux vaut tard que jamais" ! Même si c'est métaphorique ou que cela semble stupide, c'est vraiment ce qui se passe. L'innéité et votre corps physique seront dans un état de joie profonde. Vos cellules ont passé tout ce temps à attendre votre appel. Savez-vous que pendant ce temps d'attente, elles n'ont pas été inactives ? Elles agissaient selon la programmation de base, en attendant votre appel. Mon partenaire parle d'un cheminement général ou global, d'une moyenne [quantité, chose, état qui tient le milieu entre plusieurs autres, qui est éloigné des extrêmes et correspond au type le plus répandu].

Cependant, lorsqu'elles reçoivent des instructions, elles vont dans le sens de vos choix. Donc, lors de cette première communication, il y aura une célébration. Ensuite, elles se mettent tout de suite au travail. Maintenant, je veux parler de ce "elles se mettent tout de suite au travail". Selon le sujet de la communication, que ce soit pour votre guérison personnelle ou pour aider un autre Être Humain à se guérir, etc., vous devez leur donner le temps de réaliser ce que vous voulez. Il y a un aspect pratique que vous devez comprendre. Ces choses seront accomplies selon la division des cellules, la régénération des cellules ou la mitose, selon votre choix.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mitose

Votre corps physique est construit de manière à se régénérer par lui-même. La plupart des organes se régénèrent par eux-mêmes, incluant votre peau. Toutefois, lorsque vous commencez à parler à votre structure cellulaire, ces instructions vont dans le data, dans les données de votre ADN. Vos instructions seront inclues dans votre prochain cycle de régénération. Vous voyez pourquoi le résultat ne sera pas flagrant, lors de votre réveil "demain matin" ? C'est le simple bon sens humain et spirituel. Que ce soit votre linéarité humaine ou l'éternel moment présent qui évolue sans cesse [est-ce que le "plus-que-parfait et l'éternité" peuvent avoir une fin ?].

La guérison instantanée ou miraculeuse est une autre chose ou histoire, mais elle n'est pas le sujet de discussion de notre message actuel. Si je vous dis que, avec votre temps linéaire et l'éternel moment présent qui évolue sans cesse, vous finirez par comprendre, saisir et ancrer ceci dans une autre prise de conscience, me croirez-vous ? Les choses sur lesquelles vous travaillez et demandez, vont commencer à se montrer, avec le temps. Je tiens à vous parler d'une autre chose à laquelle vous n'êtes pas encore préparés. Lorsque vous commencez à parler à vos cellules, votre innéité sait que votre conscience est bienveillante, elle sait que vous voulez rester, et il y a des systèmes automatiques qui vont aller en certains endroits de votre corps physique, afin de les améliorer, même si vous ne l'avez jamais demandé.

Vous allez commencer le processus du prolongement de la vie en incarnation. La guérison va commencer en des endroits où vous ne saviez pas qu'ils avaient besoin d'être soignés ou équilibrés, mais votre innéité le savait. Vous venez d'éveiller ou découvrir le pont qui relie la conscience humaine à sa structure cellulaire. C'est facile. Imaginez que vous êtes assis et seul, que vous contactez vos cellules, peut-être à haute voix [rires de Kryeon], peu importe votre âge, et vous réalisez que vous êtes réellement en amour avec votre divinité intérieure. Vous saurez que vous avez composé le bon numéro de téléphone, puisque toutes les cellules vont répondre à votre appel et qu'elles seront attentives à ce que vous direz, par la pensée, à voix basse ou haute.

Vos premières paroles seront peut-être : « Nous nous connaissons, et je vous aime ! Je suis désolé d'avoir pris autant de temps à comprendre. Je veux que vous alliez dans des processus que vous connaissez et que j'ignore. Je veux que nous nous réunissions dans un état de bienveillance qui va créer la santé. Je veux que vous me parliez, d'une manière que je puisse vous reconnaître. Je veux que nous nous tenions par la main, pour le reste de ma vie. Je réalise que j'ai des habitudes ou dépendances qui sont en train de me tuer, et je veux les changer. Chère structure cellulaire, je veux que mon métabolisme soit le reflet de ma beauté divine, de ma divinité intérieure. Change ce qui est nécessaire. Fais équipe avec mon Akash si c'est nécessaire. Je veux maîtriser ces dépendances sans passer par l'abstinence qui risque de créer une frustration qui sera peut-être pire que la dépendance [NDIT - Selon ma vérité individuelle, l'abstinence ne règle pas une dépendance, elle la retarde. "Chassez le naturel et il revient au galop"]. Je vais probablement vous parler à chaque jour, car je vous aime. »

Ensuite, ne raccrochez pas, maintenez le contact, la connexion ou le lien. Laissez la porte ouverte, et retournez à votre train-train quotidien d'Être Humain. Vous réaliserez que votre conscience n'a jamais réellement parlé à votre corps physique, à votre structure cellulaire, d'une manière spécifique. Votre innéité le savait, mais elle était en attente de cet appel téléphonique. Vous avez toujours été à la recherche de l'équilibre : partout, toujours, en tous lieux et en toutes circonstances. Pourtant, votre innéité savait quoi faire. La partie sage et avisée de votre corps physique, peut même entrer en contact avec vos Archives akashiques. Elle peut y trouver les informations nécessaires qui maintiendront vos corps physiques - actuels - en bonne santé. Cela vous demandera d'effectuer des changements, tels que certaines habitudes ou comportements, etc. Aussi simple que "trop manger". [NDIT - Fumer la cigarette ou trop fumer]

http://www.paroles-musique.com/paroles-Angele_Arsenault-Moi_Jmange-lyrics,p52331 ... 

Vous avez l'impression que vous ne pouvez rien faire, puisque c'est une habitude ou une dépendance. Tout ceci peut changer très très rapidement, en l'espace de quelques cycles. Le rajeunissement cellulaire peut créer un changement, une différence, entre ce que vous désirez manger, afin que ce ne soit pas un sacrifice, mais plutôt une nouvelle manière de jouir de la vie en incarnation. Voyez-vous la puissance de votre divinité intérieure qui est en face de vous, en vous ? La divinité intérieure qui voit la même chose chez tous les autres Êtres Humains ? Parmi celles et ceux qui vont commencer ce processus, il y en aura qui verront immédiatement un résultat. Si c'est votre cas, vous pourrez l'enseigner aux autres, si tel est leur choix.

Finalement, chères Âmes expérimentées, que dites-vous du fait que vous avez une amie divine en vous, que ressentez-vous ? Cette amie peut vous aider à prolonger votre vie physique de plusieurs années. Tout ceci est approprié, puisque cette amie fait partie de la planification à longue échéance, de vos incarnations dites futures, incluant un état bonne santé de vos corps physiques. Tout ceci est bien au-delà des courbes graphiques qui illustrent la "normalité humaine, rationnelle et 3-D". Maintenant, vous savez ce qu'il vous est possible de faire, vous en avez pris conscience. Nous vous livrerons un autre message, dans un autre temps de vos moments présents. Nous parlerons de la manière dont votre corps physique s'adresse à vous, car notre message actuel parlait seulement d'une communication entre vous et votre corps physique. Donc, ce sera l'inverse. Vous ne parlez pas ou ne connaissez pas encore vraiment son langage. Alors, vous devrez comprendre quelques processus. Ensuite, il comprendra mieux vos instructions, car il y aura moins de : « Ah, je pensais que... ! » Nous vous livrons ce message en endroit qui est sacré. Il a pour but de vous aider à créer de nouveaux outils, car le moment est approprié.


Et c’est ainsi.

Kryeon

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Vous pouvez diffuser librement cette traduction, à condition que ce qui suit soit inclus et que la présentation ne soit pas modifiée.

Interprétation et traduction québécoise de ; JM

Site : http://kryeon.forumactif.com/forum.htm

vendredi 2 janvier 2015

L’Australie interdit les cabines de bronzage - Tiens tiens ... !

 Vu sur le site lemonde.fr - Merci pour cette info. Ne bronzez plus idiotes, mesdames ...

« On estime que, chaque année, jusqu’à 280 cas de mélanomes sont dus aux cabines UV, et chez les jeunes c’est un mélanome sur six », explique un responsable de l’ONG Cancer Council, Craig Sinclair : 43 Australiens meurent tous les ans après avoir utilisé ces cabines. Des études affirment qu’une utilisation régulière avant 35 ans multiplie par deux le risque de mélanome. L’Australie emboîte le pas au Brésil, premier pays à interdire les cabines de bronzage.

Canons de beauté

Cela s’inscrit dans une mobilisation sans relâche depuis les années 1980 contre le cancer de la peau. Le pays, qui subit les conséquences du trou d’ozone au-dessus de la zone antarctique, est l’un des plus exposés aux rayons ultraviolets (UV). C’est aussi, bien sûr, un pays où l’on passe beaucoup de temps dehors, à la plage en particulier. Et, comme ailleurs, le bronzage est de rigueur si l’on veut suivre les canons de beauté.
Les statistiques sont pour le moins inquiétantes. C’est en Australie que le taux de mélanomes est le plus élevé du monde. Environ 11 000 cas sont diagnostiqués chaque année. En 2011, environ 2 000 personnes sont mortes d’un cancer de la peau : plus de 1 500 étaient atteintes d’un mélanome. La France présente des chiffres semblables, mais avec près de trois fois plus d’habitants.
Selon le Cancer Council, deux Australiens sur trois se verront diagnostiquer un cancer de la peau (tous types confondus) avant d’atteindre 70 ans. Plus de 400 000 personnes sont traitées chaque année. Les cancers de la peau représentent environ 80 % des nouveaux cancers diagnostiqués.

---- La suite sur la page du journal Le Monde ici : http://www.lemonde.fr